Le bilan des attentats du vendredi 13 novembre est édifiant. De nombreux blessés auraient pu survivre si davantage de personne avait eu connaissance de certains gestes qui sauvent.
Notre formateur-expert, ayant exercé en zone de crise à l’international, se déplace au sein de votre entreprise pour former vos salariés à réagir face à une attaque et aux gestes de premiers secours. Les bénéfices de cette formation seront reversés aux Sapeurs-Pompiers d'Alsace. Contenu de la formation :
Durée de la formation : 3 heures Tarifs : nous consulter. La formation est personnalisable en fonction de votre secteur d’activité. IRYO, spécialise de l’intelligence économique, vous apporte la solution sur-mesure à l’ensemble des demandes en renseignement, protection et sécurité d’entreprise. Contact : Delphine KIEGER 4, place de la Cathédrale, 6800 COLMAR contact@iryo.fr - www.iryo.fr
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![]() Dans un environnement économique particulièrement concurrentiel (concurrents mondiaux et marchés en constante évolution) doté d'incertitudes croissantes, l’intelligence économique s’avère un enjeu, non seulement stratégique, mais indispensable à la prise de décision. Elle concerne toute entreprise évoluant dans un milieu concurrentiel et ce, quelle que soit sa taille. L’objectif de la mise en place d’une démarche d’intelligence économique Collecte, analyse, protection et maîtrise des informations stratégiques. L’information pertinente devient un outil stratégique pour l’entreprise. Elle permet de :
En France, seulement 20 % d’entre elles pratiquent l’intelligence économique, estimant que cette démarche est uniquement réservée aux grands groupes, alors que nos voisins européens sont déjà persuadés de son importance et de son efficacité. En effet, les menaces sont nombreuses : intrusion informatique, vol du fichier client, divulgation d’information pouvant détériorer l’image, divulgation d’information R&D, .... Une grande partie des actes malveillants pourraient être évités si l’entreprise prenait conscience de la réalité de la menace et mettait en place des bonnes pratiques simples mais efficaces d’intelligence économique. IRYO vous accompagne dans cette démarche en vous proposant des formations adaptées à votre secteur d'activité. Auteur : Delphine KIEGER , IRYO Suite aux terribles attentats du vendredi 13 novembre, des informations inquiétantes ont été révélées : les terroristes avaient une vie professionnelle normale malgré qu'ils étaient fichés "S".
Ce qui nous amène à nous poser la question : que doit savoir l'entreprise sur son salarié lors d'une embauche ? Quelles sont les limites ? Les obligations de sécurité ? Il convient tout d'abord de rappeler que les dirigeants sont responsables de la vie sociale au sein de leur entreprise. Il est donc essentiel de connaître certaines informations sur un futur collaborateur à qui l'on accordera sa confiance, confira des dossiers, des clés, des données, des plans... Afin d'éviter tout risque inutile et d'assurer la sécurité de son personnel, IRYO vous propose de réaliser une enquête pour prouver la bonne moralité de vos collaborateurs. Cette enquête, vous permettra ainsi de vous rassurer ou de vous protéger contre une personne malveillante. Auteur : Delphine K. , IRYO En France, il est estimé que 1,4 milliard d’emails sont envoyés chaque jour. Un chiffre qui va vraisemblablement augmenter alors que les entreprises se penchent sur la dématérialisation de leurs processus dans le contexte de la transformation numérique. Sur ce milliard d’emails envoyés aujourd’hui, combien contiennent des informations confidentielles hautement stratégiques pour les entreprises ? Les entreprises peinent à maîtriser l’ampleur de leurs données, qui prennent de plus en plus de valeur, et, alors que les cyber attaques deviennent malheureusement un fait courant, la pression qui repose sur les entreprises ne fait que s’accentuer. Il est donc crucial de prendre conscience de cette menace qui plane sur les entreprises, quelque soit leur taille et leurs secteur d’activité, et de mettre en place une politique de sécurisation des données, qui est devenue une brique essentielle de la stratégie en sécurité des entreprises. Alors qu’un très grand nombre de ces données sont partagées en interne, ou avec des clients et partenaires, les entreprises doivent s’assurer d’un très haut niveau de sécurisation. La sécurité ne peut plus être perçue uniquement comme un coût. C’est aujourd’hui une nécessité et un facteur de gain. http://www.itpro.fr/a/secret-affaires-est-il-bien-garde/ ![]() La France est plus que jamais la cible des terroristes. Pas seulement sur son territoire mais également à l'étranger. Comme le souligne Bertrand Monnet, professeur titulaire de la Chaire Management des Risques criminels à l'EDHEC, "ces cibles peuvent d'abord, et avant tout, être des entreprises. Des entreprises qui représentent la France, et il y en a beaucoup" Le risque majeur est la prises d'otage, c'est pourquoi "ces entreprises doivent renforcer leur mesure de protection de leur personnel, parce que ce sont des cibles". Il est donc indispensable de protéger davantage vos collaborateurs présents ou se déplaçant à l'étranger. Pour un entreprise ce type de scénario "n'est pas seulement un problème de sécurité, c'est également un problème stratégique. C'est un problème qui va, s'il se produit, impliquer le top Management de l'entreprise. Au delà de l'impact humain, ça peut avoir un problème financier, boursier terrible pour une entreprise" IRYO, grâce à ses experts ayant exercés au sein des forces armées françaises, vous propose : -des formations pour préparer vos déplacements -un accompagnement lors de vos déplacements afin de garantir votre sécurité -de récupérer des personnes dans des pays à risque. Pour toute information complémentaire, vous pouvez nous contacter au 09 67 02 36 23 ou contact@iryo.fr Auteur : Delphine K. , IRYO Pour visionner l'interview du professeur : http://videos.lesechos.fr/news/interviews/b-monnet-edhec-les-entreprises-francaises-expatriees-pourraient-etre-des-cibles-4615592923001.html#xtor=CS1-32 L’information est au cœur du processus de décision stratégique. Une connaissance parfaite de l’information pertinente permet de saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent, d’appréhender et de maîtriser les risques et de mener des actions efficaces et déterminantes pour son avenir. La maîtrise de l’information constitue donc le facteur à ne pas négliger dans l’entreprise. Elle est devenue un réel outil économique, indispensable quel que soit le secteur d’activité ou la taille de l’entreprise. C’est pourquoi les entreprises accordent beaucoup d’importance à celle-ci aujourd’hui pour pouvoir se positionner sur un marché donné. Depuis quelques années Facebook est devenue la 1ère source de trafic devant Google. En effet depuis le début de l’année 2015 Facebook concentrerait 43% du trafic des sites de médias et c’est l’une des plateformes numériques disposant du plus grand nombre de renseignements personnels sur ses utilisateurs. La mine d’or d’informations que possèdent Facebook sur ses utilisateurs. Les informations visées sont vendues par Facebook aux entreprises intéressées. Ces informations porteraient principalement sur l’algorithme des plug-ins qui mettrait en relation le réseau social et les sites web que les utilisateurs visitent, y compris lorsqu’ils ne sont pas connectés à Facebook. Ainsi Facebook peut relier nos habitudes de navigation avec « notre » personnalité réelle, un avantage unique que possède Facebook. Ceci va donc à l’encontre du but premier de Facebook car son créateur avait déclaré en 2013 que « Facebook n’a pas été créé pour être une entreprise mais pour remplir une mission sociale : rendre le monde plus ouvert et connecté. » Facebook a une capitalisation boursière de 262 milliards. Mais qu’est ce qui en fait une entreprise aussi rentable ? Car en effet, même si Facebook comporte des services payants, comme les pages professionnelles sponsorisées, ceci ne suffit pas à engendrer autant de bénéfices. En fait, si on ne voit pas le produit vendu par Facebook, c’est que c’est nous qui sommes bel est bien ce produit. Nos informations valent de l’or pour les entreprises, nous le savons. D’après une étude du Boston Consulting Group, les données d’une personne vaudraient 600€. Facebook gagne en moyenne 5€ par utilisateurs. Sans le savoir, quand nous acceptons les conditions générales d’utilisation, nous abandonnons tous nos droits sur nos photos et sur nos informations et tout contenu relevant de notre propriété intellectuelle est cédé à Facebook. De ce fait, Facebook peut les utiliser comme bon lui semble. Là est la force de ce réseau social. Lire la suite : http://master-iesc-angers.com/que-fait-facebook-de-nos-donnees-personnelles/ Les techniques d’ingénierie sociale qui trompent la vigilance d’employés et exposent des données sont toujours plus sophistiquées. Les entreprises doivent gérer le risque et former leurs équipes. Quel employé peut reconnaître une tentative d’exfiltration de données derrière un email portant sur un plan social ou identifier le faux profil LinkedIn d’un présumé consultant en recrutement de grand groupe IT ? Déjà bien rodées, les techniques d’ingénierie sociale qui permettent de tromper la vigilance de cibles pour obtenir un accès à des données sensibles sont de plus en plus sophistiquées. Sensibiliser et former les équipes Pour lutter contre ce fléau, l’investissement dans la sécurité des infrastructures (firewalls, filtrage de contenu, accès restreint…) ne suffit pas. « Un des moyens les plus efficaces pour limiter le risque passe par la sensibilisation et la formation. Vous pouvez non seulement réduire le nombre de personnes victimes de phishing d’environ 5 %, mais aussi créer un réseau humain qui sera plus efficace pour détecter les attaques de phishing que pratiquement n’importe quelle technologie », explique Lance Spitzner, directeur de recherche du SANS Institute. Il est donc urgent pour les entreprises de prendre conscience du risque que l’ingénierie sociale peut représenter pour l’activité et la réputation du groupe, ses clients et leurs données. Et de former leurs équipes, y compris par le biais de courriels de test avec de faux liens. En mai dernier, le PMU a mené, avec le concours d’un prestataire, un test de ce type auprès de ses salariés. Résultat : 22 % d’entre eux ont ouvert la pièce jointe associée au mail piégé, qui leur promettait de participer à un jeu leur permettant de gagner un iPad. Et 6 % des employés – soit quelque 120 personnes – ont cliqué sur le lien présent dans cette pièce jointe et ont renseigné leurs coordonnées. En juillet la région flamande en belgique a réalisé un exercice, de même nature auprès de ses 20 000 fonctionnaires. En savoir plus sur http://www.silicon.fr/ingenierie-sociale-employes-maillon-faible-cybersecurite-129728.html#FmiDP6zhWgP4ZW4b.99 ![]() C'est pourtant une démarche essentielle au développement et à la pérennité de toute société permettant de : ● Protéger ses actifs matériels et immatériels ● Orienter sa stratégie ● S'adapter à son marché en réagissant rapidement aux évolutions ● Développer les compétences de son personnel ● Détecter les menaces afin de les transformer en opportunités ● Porter un autre regard sur son entreprise et celles de ses concurrents La compétition actuelle est avant tout une guerre de l’information.
Les PME françaises doivent se protéger, au risque – tout comme les groupes avec lesquelles elles sont en relation – de mettre la clé sous la porte. Aucun secteur n’est épargné car tout intéresse les espions. Si 20 000 PME sont touchées chaque année, 10 000 seulement déclenchent des procédures juridiques pour préserver leur réputation et par manque de recours lié à l’absence d’une législation spécifique. Et si l’on pensait «Intelligence économique » pour se défendre ? Lire la suite : http://lemagrh.randstad.fr/espionnage-industriel-les-pme-dans-le-viseur/ |
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